DE NOUVELLES PISTES SE PRÉSENTENT COMME THÉRAPIES POTENTIELLES POUR PRÉVENIR LES MALADIES VASCULAIRES
Un lien causal entre la réduction du potassium alimentaire, la calcification vasculaire qui se trouve dans l’athérosclérose et les mécanismes pathogènes mineurs est déterminé par les chercheurs de l’UAB qui ont travaillé spécialement sur des souris vivantes avant d’arriver dans les événements moléculaires au centre des cellules en phase de formation.
Les travaux qui ont pris pour cible les animaux sont maintenus sur le modèle murin potentiellement athéroscléreux, sur des souris faibles en apoliprotéine E et sur un modèle standard sujet aux maladies cardiovasculaires lors de la réception d’un régime plus ou moins riche en graisse.
LES RÉSULTATS OBTENUS SONT PROBANTS
L’équipe de l’UAB a constaté que la calcification vasculaire avait augmentée significativement chez les souris fortement nourries à partir d’une ration pauvre en potassium. Pourtant, la calcification vasculaire était nettement inhibée chez celles qui sont nourries à l’aide d’un régime très riche en potassium. Ces résultats ont été obtenus grâce à l’utilisation des taux faibles, normaux et élevés de potassium alimentaire, ils sont respectivement pris par 0,3%, 0,7% et 2,1% poids par poids.
Selon la vitesse de l’onde de pouls présentée par l’indicateur de rigidité artérielle et déterminée par l’échocardiographie chez les animaux vivants, les aortes chez les souris qui ont consommé une faible quantité de potassium ont été rigidement accrues si celles des souris qui ont une forte teneur de potassium ont connu une réduction de la raideur.
Le professeur de néphrologie au Département de médecine de l’UAB, Paul Sanders a déclaré que les résultats étaient tous significatifs et avaient démontré la conséquence grave d’une consommation faible de potassium ainsi que le bénéfice qu’une supplémentation de potassium pourrait générer sur la calcification vasculaire chez les souris qui sont sujettes à l’arthérosclérose.
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